Dans notre beau pays au patrimoine culinaire riche et varié, il y a certains plats qu’on préfère à d’autres pendant les journées les plus chaudes de l’année.

L’un des plats qui reviennent le plus souvent et qui se décline en plusieurs versions aussi délicieuses les unes que les autres est la chakchouka, qu’on appelle aussi Tchektchouka ou Chekchouka.

Il s’agit d’un plat végétarien convivial savoureusement rehaussé par les épices qu’on déguste le plus souvent avec de la bonne galette algérienne. Appelée aghroum, kesra ou encore ftira, celle-ci est un pain traditionnel à base de semoule qu’on cuit sur un tajine en terre cuite ou en fonte.

La chakchouka, un plat qui régale tout le monde !

Bien qu’il y a 1000 façons de la prépare, la chakchouka diffère légèrement d’une région à une autre, mais pour sa préparation, le principe est toujours le même : de l’oignon ciselé et de la tomate coupée en tout petits dés, agrémentés d’ail, de sel, de poivre et de paprika.

Selon les préférences de chacun, certaines personnes y ajoutent du poivron, tandis que d’autres ajoutent de la viande hachée, du poulet ou encore quelques merguez.

Avant de servir, on incorpore parfois des œufs au plat ou battus en omelette et des herbes aromatiques fraîches, notamment du persil ou de la coriandre.

Voici comment préparer ce plat léger idéal pour cet été

C’est dans une vidéo TikTok publiée en début de juillet dernier que la créatrice de contenu Amira, qui se fait appeler @miraworld16, dévoile sa recette de chakchouka qui, à première vue, a l’air appétissante.

https://www.tiktok.com/@miraworld16/video/7387836252445248773

Elle commence par ciseler trois oignons et de les faire revenir dans un fond d’huile sans goût. Une fois l’oignon presque cuit, elle ajoute une grosse tomate qu’elle a coupée en très petits dés.

Après quoi, la cuisinière assaisonne avec quelques gousses d’ail coupées finement, du poivre, du sel, du paprika et du concentré de tomate et mélange bien. Elle laisse mijoter sur feu doux à moyen jusqu’à ce que tout soit cuit.

Entre-temps, Amira lance la préparation de la kesra. Pour cela, elle mélange deux mesures de semoule fine, un quart de mesure d’huile, une c.à.c de sel, un peu de levure et ramasse avec de l’eau.

Après avoir bien pétri la pâte, elle l’étale sur un plan de travail et la fait cuire sur un tajine traditionnel sur feu moyen à vif.

À présent, elle finalise la chakchouka en y versant un filet d’huile d’olive et en incorporant trois œufs au plat, puis elle la garnit de quelques tomates cerises coupées en deux et du persil haché.

Dans les commentaires, certains confient que cette recette leur a donné envie. D’autres, quant à eux, révèlent qu’ils ne la préparent pas tout à fait de cette manière chez eux : « Chez moi, on rajoute du poivron vert », « Je prépare comme toi, mais je ne mets pas d’ail », « Rajoutez de la viande séchée (keddid ou kheliâ) et dites-moi ce que vous en pensez ».