La pâte à tartiner algérienne El Mordjene n’a pas fini de faire parler d’elle, tant le buzz médiatique qui l’entoure est énorme.

Cette fois, c’est un célèbre influenceur français qui s’en empare : Benoît Chevalier, l’un des Tiktokeurs les plus suivis sur la plateforme, avec plus de 11,7 millions de followers.

« Je goûte la pâte à tartiner El Mordjene »

@benoit_chevalier

Je goute la pâte à tartiner El Mordjene ❤️

♬ son original – Benoît Chevalier

À présent qu’elle est officiellement bannie de France et du territoire européen, la célèbre El Mordjene algérienne fait encore plus de bruit sur les réseaux et parmi les consommateurs, bien que ceux-ci peinent à se la procurer.

« C’est la pâte à tartiner El Mordjene et elle n’est plus disponible en France, ni en Europe. Les gens disent qu’elle est meilleure que le Nutella, que ça a le goût de noisettes, et qu’elle est identique au Kinder Bueno », annonce Benoît avant de la goûter.

Pour ce faire, il agit de manière surprenante : au lieu d’en tartiner un peu, il plonge carrément une baguette de pain dans le pot, un pot qu’il dévoile avoir acheté 15,99 €, en somme, à prix d’or !

Immédiatement, le constat tombe : « Je ne pensais pas que c’était aussi liquide, mais ça sent super bon. C’est très, très bon. J’adore ça ! ».

Encore une validation pour la pâte à tartiner algérienne. D’ailleurs, le TikTokeur ne manque pas d’exprimer son souhait de la retrouver en magasin.

« J’espère qu’ils vont la remettre en France et en Europe parce que c’est abusé ! Ils ne peuvent plus l’importer à cause du lait, mais je ne vois pas quel est le problème, surtout que c’est trop bon ! », dit-il.

Les internautes frustrés de la décision d’interdiction d’El Mordjene

Sous la vidéo, près de 500 personnes ont réagi à sa réaction et ses dires, certains se moquant promptement du coût excessif du pot de 700 g (15,99 €). « En Algérie, c’est à peine 3 € », certifient les internautes.

Pour d’autres, l’interdiction d’importation de El Mordjene est tout à fait incompréhensible, en dépit de l’explication donnée concernant la présence de poudre de lait parmi les ingrédients.

« Ils ne peuvent pas la remettre en Europe car l’Algérie n’a, soi-disant, “pas le droit d’envoyer des produits avec du lait” », rappelle un intervenant.

D’autres commentateurs se chargent de notifier : « Surtout que la poudre de lait qu’il y a dedans vient de France », « Le délire, c’est que le lait en question est importé de France ».

Autant de contradictions concernant une simple (mais succulente) pâte à tartiner algérienne, de quoi poser de sérieuses interrogations quant aux raisons de son interdiction sur le sol européen.