La pastèque algérienne n’a pas fait que débarquer en France. Elle séduit également les consommateurs avec sa qualité supérieure. Outre le poids phénoménal des pastèques disponibles sur le marché français, le goût est aussi exceptionnel.
Le fruit star de l’été, produit en grandes quantités en Algérie, s’exporte bien cette année, notamment vers la France. Les arrivages des pastèques cultivées dans les champs algériens font beaucoup parler d’eux sur les réseaux sociaux.
Dégustation d’une pastèque algérienne en France : voici ce que ça donne
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Couteau de cuisine à la main, un ustensile indispensable pour découper le fruit en deux et puis en portions, un commerçant dans un marché en France, visiblement un algérien, n’a pas tari d’éloge sur ce fruit venu directement d’Algérie.
Dans une vidéo postée sur son compte TikTok, on le voit choisir une gigantesque pastèque d’un bac entreposé en dehors de sa boutique. « Je vais ouvrir une pastèque d’Algérie. Elle fait dans les 12 à 13 kilos », dit-il, tout enthousiaste à l’idée de faire découvrir ce fruit succulent à ses clients.
Il attrape péniblement une grosse pastèque du fait de son poids et la transporte sur son épaule à l’intérieur du magasin. Une fois à l’intérieur, il entame la démonstration de découpe de la pastèque algérienne.
En enfonçant le couteau dans le fruit, il invite l’assistance à d’abord écouter le bruit de craquement provenant du fruit avant même de découvrir l’intérieur tout rouge. Ces deux facteurs sont en effet le gage d’avoir le goût le plus savoureux, sucré et rafraichissant que l’on puisse espérer d’une pastèque.
« C’est tellement bon que j’ai envie de manger la peau »
Et selon ce commerçant exerçant en France, les pastèques algériennes remplissent amplement ces critères. Après l’ouverture de la pastèque, il invite les clients présents dans cette partie de sa boutique de venir découvrir gratuitement le goût de sa marchandise.
Il découpe une fine tranche et la tend vers une dame derrière lui, tout en insistant qu’il s’agit d’un produit algérien. « Magnifique, merci », s’exclame la cliente après avoir pris une bouchée.
Ne pouvant pas résister à la tentation, le commerçant découpe une autre tranche pour lui-même. « C’est tellement bon que j’ai envie de manger la peau », lance-t-il après la première bouchée. D’ailleurs, c’est ce qu’il a fait, précisant que même la fine couche blanche qui sépare la peau de la chaire du fruit est « très sucrée ».
« C’est à cause de l’impact du sucre et du miel du désert du Sahara algérien », explique-t-il avec de gros gestes.